En repassant devant les toilettes du réfectoire, tout me revins en tête...
Hier, le pourquoi du comment, la mort de mes proches...
Je ne devais pas ressombrer, je n'auvais pas de seconde chance. Je courru alors vers ma chambre pris ma femme et courru le plus loin possible. Je m'arreta lorsque je vis cet arbre planté là comme un appel. Je m'assis au sol le dos contre son tronc. Je sortis ma femme [ sa basse ] se sa housse, cette si belle basse, la basse que son père lui avait acheté...
Et sa mère lui avait payé les cours...
Je posai ma basse sur ma cuisse droite et enchaînai les morceau comme si plus rien d'autre n'existait, bien sur je chantais aussi, pour pratiquement toutes le chansons. Je revisitais tout mon répertoir. Puis comme un éclair apparait dans le ciel, l'inspiration me vint. Je sorti un papier de ma housse ainsi qu'un crayon de bois et écrivit. 20 minustes plus tard j'avais les paroles d'une chanson couchées sur papier.
Je regardai ma montre. Il était l'heure de rentrer mais comme à l'aller je n'avais pas trop regardé par où je passais, j'étais perdue, en plein milieu de la forêt, toute seule, sans aucun moyens d'en sortir.
Cela faisait au moins une bonne heure que j'attendais ainsi que quequ'un vienne me retrouver.
Je pris mon courage a deux mains et me dirigea dans une direction. Je ne pouvais que plus m'éloigner de mon point de départ. Je rencontrerais surement quelqu'un, ce n'est pas comme si j'étais dans un autre mon ou un autre pays...
J'appercevais le chateau au loin, mon calvaire était enfin finis.